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il y a 3 ans
Je devais m’engager pour toute la vie. C’était le grand jour. La robe blanche, les invités, tout était là pour me rappeler que je devais dire « oui » sans trop réfléchir. Mais c’était bien là le problème. Je réfléchissais. Devais-je renoncer à une vie libérée pour rentrer dans le carcan d’un régime matrimonial ? Bien sûr, j’aimais Brice, mon futur époux et je ne voulais pas lui faire de la peine. Mais j’aimais aussi ma liberté, les autres corps qui se bousculaient dans mon lit et enfin le partage du plaisir avec le plus grand nombre.
Tandis que je mettais ma robe blanche avec l’aide de ma cousine, je prenais conscience de mon corps contre le tissu, de mes seins bombés, de mes jambes fuselées. Je me rappelais alors ma première expérience avec une femme. C’était arrivé après une soirée arrosée. Je rentrais chez moi et Garance m’accompagnait, son trajet étant dans la même direction que le mien. La nuit était belle ce soir-là. Les magasins fermés offraient leur vitrine à l’obscurité. Je me rappellerai toujours ces caleçons multicolores, loufoques, dans cette rue silencieuse et nos rires en imaginant les clients venir choisir dans cette boutique leur plus bel apparat.
Nos deux visages étaient collés contre la vitrine et Garance m’embrassa, simplement, devant les caleçons qui nous regardaient, impassibles et envieux de l’excitation qui montait alors en nous. Nous avons continué notre chemin, dans le silence, comme pour ne pas troubler la quiétude des habitants ensommeillés, troublées par la fureur qui irradiait nos corps. Nous avons atterri dans l’appartement de Garance, et plus précisément, sur son canapé. En finissant une bouteille de Gin déjà bien entamée, nous avons découvert les plaisirs interdits par la morale patriarcale.
Garance était une grande femme brune, vive, musclée. Elle a d’abord enlevé mon jean. Puis, tout en m’embrassant, elle a glissé sa main contre ma culotte, sur mon clitoris séparé de ses doigts par un bout de tissu. Une montagne de sensations s’est abattue sur moi. Je lui ai enlevé son chemisier, puis son soutien-gorge et j’ai contemplé la poitrine qui s’offrait à moi et à ma bouche. La nuit continua en nous effeuillant et nous emboîtant mutuellement de plus en plus. L’excitation était à son comble, j’aimais le corps de Garance et découvrais que mon plaisir n’était pas réservé aux hommes. Le matin, je partais avant son réveil, comme enveloppée d’un doux secret et frappée par la grâce.
Je mouillais alors que je mettais ma robe blanche, les images de ma première nuit avec Garance fusaient dans mon esprit. Devais-je me marier ? Brice allait-il me rendre heureuse ? Ce n’était pas le moment de douter.
Mon père entra dans la pièce. Je vis dans ses yeux qu’il me trouvait magnifique dans cette grande robe en dentelle blanche. C’était le moment de se mettre en chemin pour dire oui. Pourrais-je dire en même temps oui à Brice et à Garance ? Et les autres ?
Alors que j’entrais dans la voiture qui me menait à la mairie, j’eus d’autres réminiscences de plaisirs passés. Je me souvenais de Thomas et Hakim, deux jeunes hommes vigoureux qui étaient venus réparer mon lave-linge. Hakim avait commencé à me complimenter sur mon allure. En réalité, j’étais encore ensommeillée et vêtue d’une simple nuisette. Alors que je me penchais sur le tambour de l’appareil, je sentis le sexe dur de Thomas qui appuyait sur mes fesses. Je me voyais encore assise sur mon lave-linge, les jambes écartées quand son sexe avait commencé à me pénétrer. L’un, puis l’autre.
Hakim aimait ma poitrine voluptueuse et tout en s’engouffrant dans mon intimité, ses coups de langues sur mes tétons attisaient le feu qui s’était emparé de moi. Les deux jeunes hommes s’avérèrent très compétents, non seulement pour réparer mon équipement, mais aussi pour me donner un plaisir inespéré. C’était au début de ma relation avec Brice et nous n’habitions pas encore ensemble. Je ne lui en ai jamais parlé. Non pas que je me sois sentie coupable, mais il s’agissait de préserver mon jardin secret.
Alors que j’avançais dans l’allée qui bordait la mairie, que j’allais rejoindre mon futur mari pour officialiser devant la communauté civile notre union, j’étais en proie à de terribles doutes. Allait-il combler mes besoins autant affectifs que sexuels ? Et moi, allais-je le faire pour lui ? Avait-il lui aussi goûté à des expériences plurielles ? Devrais-je renoncer à ma liberté ?
Brice était là, dans un costume gris clair, rasé de près. Il était beau et oui, c’était sûr, je l’aimais. Mes doutes se dissipèrent. Mais je continuais à me questionner. Nous n’avions jamais parlé de nos vies sexuelles passées, ni de nos fantasmes. Tout se passait très bien au lit. J’étais très heureuse de nos ébats. Il me comblait mais plus je me rapprochais du « oui », plus je repensais à ma vie passée de catin. Et cette vie me manquait. Je me rassurais en me disant que mes questions étaient tout à fait normales, que chaque future épouse devait passer par là.
Tout à coup, je perçus dans le sourire que Brice m’adressait un instinct lubrique. Quand j’arrivai à sa hauteur, il me glissa à l’oreille « vivement la nuit de noce ». A f o r c e de me remémorer mes exploits lesbiens et pluriels, j’étais déjà bien mouillée dans ma culotte de mariée et ces mots ne firent que stimuler mes souvenirs.
C’est alors que je vis Garance dans la foule. Comment avait-elle été au courant de mon mariage ? Elle se tenait un peu en retrait des autres invités. Nous échangeâmes un regard entendu. Pour le jour de mon mariage, je la voulais avec moi. Pour me soutenir dans cette épreuve qui ne devrait pas en être une, elle qui me connaissait comme personne. J’aurais voulu qu’elle me prenne la main et m’emmène chez elle pour vivre à nouveau nos émois entre femmes. Mais c’est la main ferme de Brice qui a pris la mienne et il m’a dit à l’oreille : « c’est le moment ». Laissant ma rêverie de côté, je m’engouffrai dans l’hôtel de ville pour sceller mon union avec Brice. Il y aurait alors un repas, une fête. J’espérais que Garance serait présente.
Je décidai d’arrêter de réfléchir et de me poser trop de questions. Comme quand on monte dans un avion et qu’on attache sa ceinture en laissant son destin aux mains des pilotes, je montais les marches de l’escalier qui nous amenaient devant Monsieur le Maire. Et je pensais à cette nuit de noces que je ne voulais pas rater.
Au moment où le maire nous déclara mari et femme, mes pensées étaient ailleurs. Elles étaient sur le canapé de Garance, assises les jambes écartées sur mon lave-linge. Elles étaient partout, sauf avec Brice, mon présent mari. Pourtant, dès que je sentis ses lèvres pulpeuses se poser sur les miennes, je touchais à nouveau terre et une fureur de vivre m’envahit. Je le pris par la taille et me pressai contre lui. D’un geste tendre, il m’ébouriffa les cheveux. Ça y’est, j’étais sa femme, il était mon mari. Nous avions échangé nos vœux et étions désormais officiellement liés.
En sortant de la mairie, Garance était partie. Je demandai alors à retourner chez mon père, avant d’aller à la salle réservée pour l’occasion et je me jetai sur mon portable. Garance ne répondait pas. Je décidai de lui laisser un message et lui communiquai l’adresse exacte de la réception en la priant de ne pas me laisser seule pour cette épreuve. Puis nous sommes partis rejoindre les invités.
Au milieu de mes proches, je sentais qu’une seule personne me manquait. A la fin du repas, Brice me pria de venir danser avec lui. C’était un slow, j’en profitai pour me blottir contre lui, comme pour me consoler. « J’ai très envie de toi », me chuchota-t-il à l’oreille, puis « Enlève ta culotte », « Je vais te bouffer le cul cette nuit ». Je sentais son sexe se durcir contre ma jambe. Je posai ma tête contre son épaule. Brice était vraiment un bon amant, c’était sûr, la nuit de noce allait être torride mais j’aurais mouillé davantage, dans ma robe en dentelle où l’on pouvait voir mes tétons pointer, avec une femme à nos côtés. Le slow s’arrêta, les invités envahirent la piste et je me glissai furtivement à travers eux pour aller aux toilettes.
Autant les paroles de Brice que les souvenirs de Garance m’avaient donné une furieuse envie de me toucher. J’entrai dans les toilettes vides et m’enfermai dans une cabine. Je baissai ma culotte, commençai à me caresser et à aimer ça. Je faisais entrer des doigts de temps en temps dans mon vagin chaud et mouillé. Je pressais la paume de ma main contre mon clitoris, d’une emprise de plus en plus forte. Je me pinçai la bouche pour ne pas qu’on entende mes halètements. Puis, une fois l’excitation retombée, je remontai ma culotte et sortis. Et là, je vis Garance qui m’attendait devant la fenêtre. Maîtresse d’elle-même, elle mit son doigt sur sa bouche pour me signifier de ne pas exploser de joie. J’actionnai le verrou des toilettes.
Nous étions là, toutes les deux, libres de nous parler, de nous toucher, de nous faire du bien. Je m’approchai d’elle, un énorme sourire aux lèvres. Elle sortit de son sac un long vibromasseur blanc. Elle me le tendit et dit « Cadeau de mariage ». Alors je l’embrassai et lui enlevai ses vêtements. Elle se retrouva vite complètement nue devant moi. Ses seins avaient un peu grossi depuis notre dernière entrevue. Elle était toujours aussi belle.
Je commençai par passer ma main sur son sexe qui mouillait déjà. Puis, je la fis s’asseoir sur le rebord de la fenêtre et commençai à lui lécher généreusement le clitoris. Elle gémissait, frottait ses genoux contre ma tête et se laissait aller au tourbillon de plaisir qui s’était emparé de nous. J’entrai alors deux doigts en elle. Elle était chaude, accueillante, douce. Elle me tendit à nouveau le vibromasseur, posé contre ses fesses. Et je le lui enfonçai non sans plaisir.
Dès que j’eus actionné le mécanisme de vibration, ses soupirs devinrent plus forts, plus longs, plus appuyés. J’alternai ainsi entre les vibrations et des mouvements de va-et-vient. Puis ses jambes se mirent à trembler et ses soupirs se transformèrent en râles.
Après un court instant où elle reprit ses esprits, elle posa ses pieds sur le sol, prit le vibromasseur et s’engouffra sous mon jupon. Elle enleva la culotte en satin que je portais. Je me rappellerai toujours ce cunnilingus, sa langue tiède et pénétrante qui s’insinuait en moi. Puis enfin le vibromasseur qui m’emmena au septième ciel tandis que je m’appuyais contre un des murs des toilettes comme pour m’accrocher au dernier rocher qui me séparait de l’extase. Et puis, je m’envolai.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restées ainsi, assises dans ces toilettes de salle des fêtes à nous regarder et à nous sourire mais au bout d’un certain temps, nous entendîmes quelqu’un qui frappait. C’était Brice. Il m’appelait. « Juliette, tout va bien ? » D’un geste, je me relevai et remis ma tenue en ordre. Mon chignon était déjà fichu, j’entrepris de l’enlever complètement. D’un regard, je demandai à Garance d’aller se cacher dans une des cabines. Puis, j’enlevai le verrou et sortis. « Qu’est-ce que tu faisais ? », me demanda Brice. « J’enlevais la culotte de la mariée », lui dis-je en lui mettant dans les mains le bout de satin usé et le vibromasseur. Son regard passa de la stupeur à la complicité. « Tu es belle », me dit-il. Il passa ses mains dans mes cheveux et m’emmena danser.
J’avais beaucoup d’énergie en moi. Garance avait disparu. Je dansai jusqu’à l’aube, buvant, riant, tellement heureuse d’avoir pu partager ce moment entre femmes. Qui plus est, en ce jour d’union. Mes doutes avaient disparu et étaient devenus des certitudes. J’aimais Brice et le voulais à mes côtés pour la nuit, mais je voulais aussi Garance. L’un et l’autre me permettait de me sentir vraiment femme.
Une fois arrivée dans la chambre à coucher avec Brice, j’entrepris de lui parler de l’histoire du vibromasseur. Je lui disais que c’était un cadeau, que c’était une bonne amie qui me l’avait offert. Il me déshabilla en me demandant de continuer à parler. Alors, je lui racontai tout. Enfin, presque tout. Je n’ai pas osé à ce moment-là lui parler des deux techniciens et du plaisir sur le lave-linge. Je lui dis que j’avais une amante femme et qu’elle était très belle, très douce, très accueillante. Je lui disais qu’elle me faisait du bien. C’est alors que je sentis son sexe me pénétrer. D’une toute autre façon que d’habitude. C’était plus fort, plus viril, plus axé sur son plaisir que d’habitude.
Et j’aimais ça, je me décontractai rapidement et en voulais encore. Il me demanda de continuer à parler, dit que je l’excitais, qu’il nous imaginait toutes les deux et qu’il aimait ça. Je lui racontai ainsi notre rencontre, nos ébats sur son canapé, ma chatte qui mouillait en pensant à elle. Et je me liquéfiai de plus belle. Il le sentait et continuait à tirer le plaisir vers nous. Il me prit par derrière tout en me tenant les seins. C’était merveilleux. Je ne pouvais pas rêver d’une plus belle nuit de noces. Moi, Brice et puis Garance dans nos têtes.
Mais elle ne pouvait pas rester inconnue longtemps. Après nos premiers orgasmes, Brice était toujours en forme, désireux de plus de plaisirs. Il me regarda dans les yeux et me dit : « Appelle-la ». Rétrospectivement, je me dis que c’est là que commença notre nouvelle vie de mari et femme, exactement au moment où je vis s’allumer une lumière lubrique et avide de partager dans ses yeux. Que la nuit de noce commence !
Quand Garance arriva, nous étions dans le salon, en peignoir et sous-vêtements et nous buvions du champagne. Brice voulait la connaître, laisser monter l’excitation en lui. Garance avait une jupe courte bleue, laissant deviner un tatouage sur la cuisse arrière, une chemise noire quasi transparente qui dévoilait la fente de ses seins. Elle avait noué ses cheveux mais une mèche rebelle encadrait son visage. Très discrète, elle s’assit sur le canapé. Nous lui avons servi du champagne, elle commença à se détendre.
J’entrais dans une nouvelle ère de mon existence. J’étais devenue la femme de Brice, à l’aube d’une vie libertine où tous les acteurs poursuivent le même but : le plaisir partagé. J’écoutais Garance raconter sa vie et je la dévorais des yeux. Dès qu’elle bougeait ses jambes, je sentais quelque chose monter en moi. Brice me caressait la cuisse, lui aussi fasciné par Garance. Ma maîtresse avait quitté la sombre ruelle étroite de l’adultère pour venir à la lumière. Je savourais chaque seconde du moment tout en lapant dans ma coupe de champagne. C’était une sensation terriblement satisfaisante. Mais la situation devait évoluer.
Tout en resservant Garance, je cherchai ses lèvres et plongeai ma langue dans sa bouche. Je posai la bouteille. Brice continuait à me caresser la cuisse. Soudain, ses doigts s’approchèrent de mon intimité et j’embrassai de plus belle la maîtresse de la mariée. Je dégrafai son corsage et me penchai sur sa poitrine. A quatre pattes sur le canapé, Brice commença à me lécher l’entrejambe tandis que j’embrassai Garance. Elle reflétait nos fantasmes, se posait comme l’extension de nos deux désirs. Elle se laissait faire, lascive, intriguée, pas craintive du tout. J’adorais ce moment.
C’est alors que Garance dit, tout en regardant Brice, : « Qui enlève la culotte de mariée ? ». Ils se sourirent et prirent chacun l’une des extrémités de tissu dans leur bouche et la firent descendre jusqu’à mes pieds. J’étais maintenant ouverte à toute sollicitation. Brice m’embrassa, tout en me stimulant le clitoris. Il sortit le vibromasseur blanc et demanda à Garance de me l’enfoncer progressivement. Je suçais Brice doucement mais fermement en soupirant sous le plaisir de l’objet vibrant. Tout le monde se touchait, se palpait, se caressait. C’était une vraie belle orgie de corps entremêlés les uns dans les autres, chacun pour se satisfaire.
En montrant la bouteille de champagne à moitié vide, Brice suggéra d’appeler le Room Service. Après quelques minutes, on entendit toquer et la porte s’ouvrit. Un magnifique valet de chambre en costume se tenait devant nous, qui étions nus et très proches manifestement les uns des autres. Il avait une bouteille de champagne entre les mains et semblait étonné d’assister à une telle scène.
Garance demanda : « Comment vous appelez-vous ? ». Le valet se prénommait Frédéric. « Vous resteriez bien avec nous, Frédéric ? ». Garance l’invitait à se joindre à la pluralité nue de la scène qu’il avait découverte. Alors, elle se mit à embrasser Brice et moi à le sucer à nouveau. Le bienheureux Frédéric ferma la porte avant de déclarer qu’il avait fini son service de toute façon. Il ouvrit la bouteille de champagne et se servit un verre. Il nous observait, encore un peu intimidé. Puis Garance se tourna vers lui et l’embrassa. Il commença à enlever son costume, petit à petit, aidé par ma maîtresse quand il le fallait.
Dès que son caleçon fut enlevé et que l’on découvrit son sexe dressé, elle s’empressa de le mettre à la bouche. Frédéric se laissait aller, il fermait les yeux. A côté, j’étais à quatre pattes devant Brice qui commença à me chevaucher. Nos râles furent soudain très présents dans la pièce. Frédéric tendit la main et se mit à caresser ma poitrine. J’étais aux anges.
Garance allongea Brice à nos côtés et se plaça sur son ventre. Elle souleva les fesses pour trouver une position adéquate à la pénétration. Garance commença à le prendre, il aimait ça. Il tapait sa main contre ses fesses régulièrement, il les pressait dans ses paumes. Garance, elle, se courbait de temps en temps et appuyait ses seins contre sa poitrine chaude et humide. Elle adorait ça, elle aussi. Brice continuait à me donner des coups de reins qui m’emmenaient loin, dans un univers de jouissances infinies. J’étais une femme comblée. Je comprenais alors que j’avais choisi Brice pour ça, car il était capable de vivre avec moi des moments d’une telle intensité, d’un tel niveau d’excitation et de partager ces plaisirs avec d’autres personnes.
Multiplier les partenaires, c’est multiplier les possibilités de jouissance. Et quand on le fait avec l’homme qu’on aime, c’est être autorisée à toucher les plaisirs là où l’autre ne peut les créer seul. C’est une vraie symphonie qui s’harmonise davantage plus il y a de partenaires.
Brice et moi avons joui à quelques secondes d’intervalle. J’étais comme électrisée, l’orgasme m’avait envoyé une décharge électrique qui rendait mon désir inextinguible. Frédéric avait complètement succombé à Garance. Elle menait la danse en remuant son bassin au rythme des coups de reins de son partenaire. Je la regardais encore, sa poitrine qui bougeait, les tétons durcis. Je ne pouvais que tendre la main pour les titiller. Elle m’embrassa, se dégagea de l’étreinte de Frédéric après un ultime soupir et j’approchai ma bouche de son entrejambe luisant.
Brice se touchait la queue en nous regardant. Dans ses yeux, je voyais la flamme du désir s’attiser à chaque mouvement, à chaque gémissement. Frédéric en profita pour m’attirer contre lui. Le corps de Garance, le mien et celui de Frédéric ne formaient plus qu’un. Le sexe de Garance était chaud et accueillant, j’entrais deux doigts. Elle continuait à remuer son bassin pour jouir. Frédéric, lui, me tripotait le clitoris et je me sentais vivre sous ses doigts. Le regard bienveillant de Brice me rassurait et m’invitait à profiter de chaque instant de volupté.
Tout à coup, le valet de chambre excité entra en moi de son sexe vigoureux et je me mis à brouter Garance avec une intensité renouvelée. Brice, sortant de sa masturbation contemplative, m’embrassa et Garance commença à empoigner son sexe. Jusqu’à ce qu’il jouisse une deuxième fois dans sa bouche. Et quand ce fut le tour de Frédéric et que je l’accompagnai dans cette ivresse, Garance lança : « Vive la mariée ! ».
Ces mots laissaient présager que j’allais passer une bonne partie de ma vie à succomber à des plaisirs non coupables. Garance finit sa coupe de champagne, se rhabilla. Elle et Frédéric partirent en même temps. Brice et moi nous retrouvâmes seuls, dans l’intimité d’une chambre d’hôtel, après avoir joui plusieurs fois. Tendrement, il mit sa main sur mon sexe et m’embrassa. « Tu es une femme magnifique », me dit-il les yeux plissés.
Et je savais qu’il ne fallait rien répondre. Je savais que nos sentiments l’un envers l’autre s’étaient confortés pendant la nuit. Je savais que j’allais m’endormir d’un sommeil de plomb et que demain, j’allais encore sentir les traces de nos ébats et en profiter encore un moment, comme envoûtée d’autant de phéromones.
Ainsi commença ma vie de femme mariée : dans une débauche de corps brûlants, une apothéose sensuelle, un érotisme tourbillonnant. J’allais me souvenir de cette nuit encore longtemps…
Fin
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